Misao La meilleure chanteuse de ce monde
Messages : 23892 Date d'inscription : 17/10/2010 Age : 33
| Sujet: Re: La roue de l'infortune de l'été Mer 28 Aoû - 22:46 | |
| hors de question, je ne chante jamais devant personne sauf que non, sur la 2e image le fond est utilisé pour plusieurs truc, c'est juste pour mettre une ambiance (et surtout ne pas avoir un fond noir XD). Pour la 2e ça aurait demander un codage fou (coder une table et des coupes le tout en 3D, et coder une posture assise de lion). Bref trop de travail pour ce que c'est, après tout les saynètes sont du pur fan service, le principal c'est de voir ces petites bouilles bouger et les entendre (sauf ces maudits anglais qui on pas doublé les scènes >_<). Bref on a pas besoin de ça, c'est comme si tu lis un livre et que tu te plaint de pas avoir d'images, ou alors que tu regardes un sketch et reproche à l'acteur de mimer certains accessoires... |
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Shynna Le chat du forum
Messages : 24260 Date d'inscription : 18/10/2010 Age : 29 Localisation : Loin de ce monde
| Sujet: Re: La roue de l'infortune de l'été Mer 28 Aoû - 23:00 | |
| La voilà la voilà *éteint la lumière et s'éclaire le visage avec une lampe torche* Voici l'histoire....l'histoire de ce soir... l'histoire ayant été réalisé par une andouille veuillez au moins éteindre la lumière IRL pour au moins avoir un minimum de peur...même si ça risque d'être dur Bref....Bonne lecture...PAV ER!!! - Histoire du soir:
Tout avait commencé par un bête pari, celui d'oser rentrer dans cette vieille maison à l'abandon depuis plusieurs temps. Il suffisait pour gagner le paris de monter au dernier étage de s'asseoir dans la pièce du fond et d'appeler les esprits en criant le nom des premiers résidents de cette battisse avant d'enfin partir.
Un jeune inconscient décidé à bien épater ses amis décida d'y aller seul, pendant ce temps ses 3 compagnons l'attendaient dehors.
Dès qu'il rentra il senti un air chaud venant des étages de la maison, rassurer par ne pas sentir un air humide et froid il monta à l'étage le cœur léger, les escaliers craquèrent bruyamment sous ses pieds, personnes ne pouvait passer dessus sans y provoquer un claquement, même pas une souris... Arriver au dernier étage il s'avança lentement vers la pièce en question, il fit un petit tour des autres pièces et regarda les vieux meubles recouvert de poussières qui s'y trouvait encore, fouilla quelque tiroir pour n'y trouver que de vieilles étoffes manger par les mites. Il passa devant l'avant dernière porte et eu un sursaut, mais rien de dangereux, il venait juste de croiser son reflet dans le miroir, il s'en approcha et se regarda, remis ses cheveux en place fit quelques grimaces, puis remarqua quelque chose d'étrange, il semblait pâle, très pâle presque blanc... Il cligna des yeux plusieurs fois avant de voir que tout cela n'était qu'une illusion, il avait retrouvé son teint bronzé et ses joues rougeâtres.
Enfin la pièce du fond, il s'y assit sagement, il n'y restait quasiment plus rien, un vieux fauteuil et une vieille lampe à pied recouverts de poussières dont l'ampoule était brisée.
Il ouvrit la fenêtre de la pièce pour faire signe à ses amis qu'il était monté à l'étage, puis s'assit enfin et cria le nom des anciens résidents... Il attendit...attendit...plusieurs minutes, histoire d'inquiéter un peu ses amis, leur faire croire qu'il avait discuté avec les fantômes des anciens résidents. Il regarda furtivement par la fenêtre et ne vit plus ses camarades... Ils sont parti sans moi ses trouillards, ils ont cru que les fantômes m'avait capturé bête comme ils sont, se dit-il. Il se releva et se dirigea vers la porte, alors qu'il allait saisir la poignée celle-ci tourna toute seule. Ah vous êtes là! s'exclama-t-il en croyant que ses compagnons l'avait rejoint dans la maison...mais aucune réponse se fit entendre. Agacé de voir que ses amis faisaient la sourde oreille il décida de sortir de la pièce, mais se cogna contre la porte en voulant l'ouvrir, celle ci était fermée à clef... Vous êtes pas drôle, s'écria-t-il en frappant contre la porte, j'ai respecté le pari, j'ai pas eu peur, c'est fini maintenant laisser moi sortir! Mais aucune réponse ne se fit entendre... Inquiet il décida de se diriger vers la fenêtre, en effet, depuis celle-ci on pouvait atteindre par un petit saut le toit de la terrasse du premier puis avec les branches du vieilles arbres, s'y agripper pour arriver sur la terre ferme. Il essaya de l'ouvrir mais sans réussite, bloquée, elle aussi...Pourtant il l'avait grande ouverte il n'y a même pas 15 minutes et personnes d'autre que lui ne se trouvait dans la pièce... Énervé, il retourna vers la porte et donna un grand coup de pied dedans puis cria à nouveau de le sortir de là, que la plaisanterie n'était plus drôle....mais aucune réponse et la porte avait résisté à son assaut.
La nuit commençait à tomber et il était toujours enfermé. Il s'était couché par terre dans un coin de la pièce se servant de son pull comme oreiller. Il se dit que ses amis avait du partir le laissant dans la maison seul. Il regardait le plafond décrépi jusqu’à que son attention soit attirée par une source de lumière, la lampe....la lampe était allumée, celle dont l'ampoule avait été brisée luisait d'une étrange lumière blanchâtre. Intrigué il s'en approcha et c'est à ce moment que la poignée de la porte se mis à nouveau à tourner et la porte s'ouvrit lentement. Heureux de ce savoir enfin libéré il couru vers la porte et l'ouvrit d'un coup, il regarda à gauche et à droite mais ne vit personne, il regarda dans les autres pièces de l'étages. Ils n'avaient pas pu descendre car sinon avec le bruits des marches il les auraient entendu... Heureux d'être enfin libre il retourna vite chercher son pull qu'il avait laissé par terre. En ce retournant pour ressortir la porte s'était fermé, un courant d'air, ce dit-il. Mais voilà, la porte était à nouveau fermée à clef... Cette fois s'en était trop, il était resté plusieurs heures enfermé dans cette pièce, il craqua et se jeta dessus en frappant des pieds et des poings de toute ses forces mais la porte résistait... épuisé par ses efforts il recula et s'assit sur le sol devant la porte. Expirant bruyamment il sentit soudain un courant d'air froid balayer sa nuque. L'air chaud avait disparu et un froid presque hivernale s'abattu dans la pièce, il rapprocha ses jambes de lui pour pouvoir mieux conserver la chaleur. Soudain l'ampoule qui semblait avoir ressuscité éclata le plongeant dans le noir avec comme unique source de lumière la lune et les étoiles qui se trouvait à l'extérieur. Il se releva et alla encore une fois essayer, calmement cette fois-çi, d'ouvrir la porte, mais elle était toujours fermée, alors qu'il allait tourné les talons la poignée se mis à bouger rapidement comme si quelqu'un de l'autre côté de la porte essayait de l'ouvrir en s'acharnant dessus. Il se mit vite à terre pour regarder sous la porte et voir, en essayant de reconnaître les chaussures ses camarades ou qui , d'un adulte ou d'un enfant pouvait bien lui faire ses farces. Les yeux écarquillé par la surprise il vit bien des pieds...blanc, blanc comme la mort, blanc comme un cadavre... sur ce blanc résidait quand même une couleurs chaleureuse au premier abord, un rouge, un rouge vif, qui se révélait être du sang, a mieux y regarder les pieds blanc et fin n'avait pas d'ongles et ses orteils étaient recouvert de sang comme si ils venaient d'être arrachés... Intrigué par ses pieds il continua de les regarder sans trop se poser de question, ce demandant si il n'était pas face à un costume ou à une hallucination comme tout à l'heure devant le miroir... Tellement absorbé par son observation des pieds il ne se rendit pas comptes que l'on avait arrêter de s'acharner sur la poignée et que lentement, des fil noir commençait à venir du haut vers la fente de dessous la porte. Soudain les pieds disparurent sous la masse de fil noir qui se révélait être des cheveux et à la place de cela un visage blanc se fit voir, couché sur le sol comme le jeune garçon il l'observait lui aussi, à sa différence prêt que lui n'avait qu'à la place des yeux deux grandes billes rouges, sa bouche était rouge comme le sang et ses dents brisées. Le jeune garçon se mit à hurler de peur et recula à toute allure se frappant sur le murs à l'opposer de la porte, il ne pus s'arrêter de crier sa peur, cette vision horrible qu'il venait de voir, cette chose qui était derrière cette porte et qui l'attendait, cette chose qui pouvait ouvrir cette porte à tout moment pour venir et s'attaquer à lui. Il hurlait et frappait des pieds comme il pouvait sur le sol pour essayer de ce calmer lui même et peut-être de faire fuir cet être hideux qui l'avait surement de l'enfermer. Enfin, enfin il s'était calmé..après plusieurs tentative pour se calmer il avait enfin réussit , il se cacha dans un coin sombre de la chambre, à l'opposée du canapé, de la lampe et de la fenêtre mais surtout à l'opposé le plus loin possible de la porte où se trouvait peut-être encore cette chose. Comment avait-il fait pour ne pas le voir avant lorsqu'il était sorti pour rechercher ce qu'il croyait être ses amis, il avait regarder dans toute les pièces et derrières chaque cachette possible, comment avait-il fait pour ne pas le voir!
Il essaya de faire le moins de bruits possibles en respirant et en changeant de position pour mieux se rasseoir, ses jambes lui semblait lourdes, peut-être la peur, peut-être la fatigue. Il ferma les yeux pour tenter de ce reposer un instant, mais la peur lui serrait encore le cœur, et si la chose revenait et réussissait à ouvrir la porte, s’emparer de lui et dieu sait quoi lui faire subir. Il restait à l’affût, ré-ouvrant de temps en temps les yeux pour voir si tout allait bien et restait attentif au moindres bruits. Soudain, son odorat s'affola, il lui semblait reconnaître une odeur bien connue..une odeur qui lui rappelait l'hiver, la chaleurs...et la cheminée...c'était l'odeur de bois brûlé, l'odeur devenait presque intenable, comme si quelque chose brûlait, comme si la maison brûlait. Pourtant il continua de faire froid dans la pièce ou il se trouvait et aucune trace de fumée ne venait jusqu’à lui. Peut-être un voisin qui brûlait des feuilles mortes ou qui faisait un barbecue, peut-être un feu de cheminé plus loin dans le quartier qui arrivait à venir jusqu'ici. En regardant la porte il lui sembla voir de la fumée...de la fumée s'échapper de sous la porte...était-ce donc vraiment la maison qui brûlait? Allait-il mourir enfermé tel un animal sans défense... La peur le gagna à nouveau était-ce vraiment un incendie? ou simplement sa peur qui avec la lumière de la lune et les grains de poussières volant dans l'air lui donnait cette impression. L'odeur aussi était-elle une invention? Sa peur lui faisait-elle croire n'importe quoi pour lui faire oublier ce visage ou bien pour continuer à torturer son âme.
Doucement il cacha son visage entre ses genoux pour ne plus y penser. De longue minutes passèrent et l'odeur qu'il avait sentie avait disparu. Cela devait être 2h ou 3h du matin quand soudain la porte recommença à claquer, la poignée s'affola à nouveau dans tout les sens et le cœur du garçon se resserra à nouveau dans sa poitrine. Il se mit à crier à la personne de s'en aller, de le laisser tranquille qu'il n'avait pas besoin de son aide, qu'il pouvait partir. C'est à ce moment que quelque chose traversa en vitesse la pièce où il se trouvait et vint s'écraser sur le murs à côté de lui, il sursauta et se leva sur ses pieds d'un bond, s'approcha de la chose et vit que ce n'était que la lampe. Elle était maintenant pliée sous l'effet du choc. À ce moment la poignée tourna doucement et la porte s'ouvrit lentement, tout lentement. Une voix ce fit entendre, une voix étrange, comme si chaque mot qu'elle disait était aspirés, elle lui disait de venir, de venir avec elle, tout prêt d'elle. La forme blanche se dessina dans l'ouverture de la porte, vite, il courut vers la porte et se jeta contre pour la fermer. Un cri aigu ce fit entendre, un cri à casser le verre, un cri angoissant. La porte claqua, se réouvrit peu à peu, le jeune garçon avait de la peine à la garder fermée, quelque soit l'être qui se trouvait derrière la porte il était fort. La porte s'ouvrit en grand fracas et le garçon fut éjecter de la porte. Celle-ci était grande ouverte, il se trouvait face à la porte...mais étrangement rien ne se trouvait de l'autre côté... Libre...Libre ce dit-il...il commença à courir vers la porte, vers sa liberté...mais soudain il s’arrêta net... C'était surement un piège ce dit-il, un piège, la chose veux l'attraper et cette soi-disante libertée n'est qu'un subterfuge pour mieux l'avoir. Il referma rapidement la porte et resta plaqué contre pour la garder fermée. 1h passa avant qu'une nouvelle chose se passa. Fatigué, il ne se rendit pas compte que la fenêtre était entrouverte, que l'air était devenu plus froid qu'avant. Il ferma doucement les yeux et commença à attendre la même voix qu'avant parler tout prêt de lui, elle lui disait encore de venir, de le suivre, qu'il ne devait pas avoir peur. Effrayé, il se boucha les oreilles pour ne rien entendre mais la voix résonnait dans sa tête comme si il lui parlait de l'intérieur, la voix continua d'insister. Le garçon voulais crier mais se retenu, il serra les dents tantôt pour s'en empêcher tantôt par la peur qui l’empêchait d'ouvrir sa bouche. La voix continuait avec plus d'insistance lui assurant que si il continuait à résister il allait finir comme elle. Effrayé par tout ceci il se rappela que la porte était peut-être encore ouverte. Vite il se leva et tira sur la poignée qui se cassa entre ses mains, la voix lui dit que c'était bien fait, qu'il n'avait qu'à l'écouter. N'en pouvait plus d'être enfermé il commença à gratter à la porte, toujours se retenant d'hurler, il commença à pleurer priant intérieurement pour que quelqu'un le sorte de la...
Le lendemain matin, une ambulance se trouvait devant la maison, une foule s'était agglutinée autour d'elle et attendait en discutant à voix basse. Deux personnes sortirent de la maison avec un brancard, sur celui ci le corps du garçon, toujours en vie oui...mais les ongles arrachés, les secours l'avait retrouvé coller contre la porte, les ongles arrachés, cassés, et pour la plupart plantée dans le bois de la porte. Les dents du garçon était brisée, sa bouche et son menton étaient recouvert de sang, il en coulait encore un peu malgré les premiers soins fait par les deux ambulanciers, la peur lui avait fait tellement serrer les dents qu'elles s'en étaient brisée, son regard, enfin ce qu'il en restait, il avait tant pleurer que ses yeux étaient rouge , rouge comme le sang, toutes les veines qui s'y trouvaient avait éclatée une par une laissant à la place de ses yeux deux rond rouges et enfin sa peau, sa peau avait viré au blanc, comme si la mort l'avait eu, il était froid, gelé, grelottant malgré la chaleurs étouffante qu'il y avait eu cette nuit là. Ses camarades le regardèrent passer la peur au ventre, c'étaient eux qui avaient appeler les secours en ne le voyant pas venir jouer avec eux ce matin...
Il avait résisté à la voix qui était venue l'hanté, il n'avait pas écouté ses conseils...et il était devenu comme elle....
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